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312 500 € pour soutenir le développement de la société Guyane Spiruline en Guyane

La Banque des territoires soutient le projet Guyane Spiruline basé à Sinnamary, en Guyane.

Il s’agit d’un projet qui consiste à l’implantation d'un site industriel de production de spiruline – une microalgue alimentaire - en exploitant des procédés innovants de culture et de transformation.

Ce projet labellisé Plan de relance et Territoires Industrie est soutenu financièrement par les fonds Européens, l’Etat, la BPIFrance et le fonds Régional ALYSE GUYANE.

La Banque des Territoires accompagne le projet pour accélérer sa phase de développement et renforcer les quasi-fonds propres avec un prêt subordonné de 312 500€.

« La Banque des Territoires démontre une nouvelle fois sa capacité d’être à proximité des acteurs qui innovent et investissent en Guyane, en respectant leur environnement. C’est la mise en œuvre de nos actions en faveur de territoires plus durables, pour une transformation écologique et énergétique » souligne Christophe Laurent, directeur régional Antilles-Guyane de la Banque des Territoires.

Pour Christian Moutton, directeur territorial de la Banque des Territoires en Guyane, « En Guyane, la Banque des Territoires sait être au plus près des territoires et le financement du projet innovant Guyane Spiruline contribue au développement économique de la commune rurale de Sinnamary tout en préservant l’écologie de son environnement. »

« La Guyane terre de patrimoine et réservoir de biodiversité est également un territoire d'innovation scientifique et industrielle que la Banque des Territoires continuera d'accompagner ! » complète Ismaël Ouanes chargé de développement territorial en Guyane

« Pour Guyane Spiruline, le financement de la Banque des Territoires confirme la puissance de notre projet innovant dont la première phase vise à produire annuellement 12 tonnes de spiruline riche en phycocyanine, pour lutter contre la malnutrition et renforcer les défenses immunitaires. La croissance de la spiruline reposant sur la photosynthèse, le site absorbera 3 000 tonnes de CO2 par an tout en relâchant 1 300 tonnes d’oxygène dans l’atmosphère. » complète Jean-Louis Vidalo, Président.