La Banque des Territoires lance la signature électronique pour les professions juridiques
Face aux enjeux du numérique, la Banque des Territoires s’engage, notamment auprès des professions juridiques, en leur proposant des nouveaux services digitaux. L’ambition ? Favoriser des parcours clients en ligne simplifiés et instaurer un accompagnement dédié qui répond aux besoins et évolutions de la profession.
© Banque des Territoires
La Banque des Territoires déploie la signature électronique des contrats de prêts à distance. Comment ça marche ? Sécurisée, simple et rapide, cette signature se fait sur la plateforme depuis l’espace personnel, dans le dossier client. Consultable et téléchargeable en quelques clics, le contrat, après signature, est directement transmis aux interlocuteurs concernés et est archivé sur le compte client. Avant que cette nouvelle prestation soit officiellement lancée, certains notaires ont pu la tester en avant-première. Maître Merlier et Maître Robert témoignent et reviennent sur les points forts de ce nouveau service.
© Maître Merlier
LA PAROLE EST A VOUS
Maître Alexandre Merlier, notaire à Saint-Siméon-de-Bréssieux, Isère
- Que pensez-vous de la démarche de pouvoir tester en avant-première, avant sa diffusion, une prestation proposée par la Banque des Territoires ?
Je trouve la démarche très intéressante. Pouvoir donner son retour d’expérience est un acte qui permet de faire avancer dans le bon sens les choses. C’est une démarche que nous accomplissons d’autant plus avec intérêt pour notre partenaire, la Banque des Territoires, qui nous suit et nous accompagne au quotidien. Il s’agit d’un « juste retour des choses » et nous serions très disposés à le refaire de nouveau pour d’autres prestations.
- Que vous apporte ce nouveau service de signature électronique ? Quelle différenciation faites-vous avec le procédé précédent ?
C’est un service d’une grande efficacité et d’une qualité impressionnante. La demande est saisie directement en ligne et ensuite un email nous informe une fois que la signature peut être effectuée. Cela nous change considérablement des procédés précédents où il fallait compter le délai postal. Aujourd’hui l’opération s’effectue de manière plus rapide et les délais sont maîtrisés. J’ajoute qu’un élément permettrait d’améliorer encore plus le service : une information en amont, tel un tutoriel, pour nous guider sur le procédé au moment de la signature du contrat. Pour autant, au moment de me retrouver face à cette interrogation, j’ai été en lien avec les équipes de la Banque des Territoires et j’ai donc été tout de suite accompagné et guidé. Tout le monde y gagne : en clarté et surtout cette relation partenariale tout le long du processus. Il n’y a pas de blocages, tout se fait de manière fluide.
- De manière générale, quelles sont vos attentes en termes de services proposés ? Et plus particulièrement au regard des enjeux de digitalisation de votre profession ? Comment voyez-vous l’avenir ?
Nous sommes très satisfaits de notre relation avec la Banque des territoires qui propose déjà un bon nombre de services dématérialisés. Un véritable partenaire de confiance. Dans l’ensemble c’est une relation partenariale qui fonctionne très bien et qui est déjà digitalisée. C’est une autre façon de réfléchir et de fonctionner d’entrer dans l’ère du digital.
© Maître Robert
LA PAROLE EST A VOUS
Maître Jean-François Robert, notaire à Valence, Drôme
- Que pensez-vous de la démarche de pouvoir tester en avant-première, avant sa diffusion, une prestation proposée par la Banque des Territoires ?
Je faisais face à une problématique qui était le délai d’obtention d’un prêt à l’équipement pour mon office notarial. C’est dans ce cadre que la Banque des Territoires m’a proposé de participer à cette expérimentation. Cela est donc tombé à point nommé. Et, plus globalement, je trouve que participer à cette expérimentation a été une expérience positive puisque cela concourt à améliorer la qualité des services proposés. Si l’expérience venait à se représenter je serais bien sûr enclin à y participer de nouveau.
- Que vous apporte ce nouveau service de signature électronique ? Quelle différenciation faites-vous avec le procédé précédent ?
Le processus d’obtention du prêt, jusqu’au déblocage des fonds, s’est fait de manière très rapide. Cela a pris environ 4/5 jours, là où avec la méthode postale « traditionnelle », il faudrait bien compter 15 jours. Désormais, avec cette signature dématérialisée, tout est plus rapide. J’ai, en plus, été accompagné tout le long du processus par les équipes de la Banque des Territoires. Un suivi accru d’autant plus nécessaire en phase d’expérimentation et qui sera probablement moins nécessaire dans la phase de lancement, où tout sera plus fluide.
Au-delà de la rapidité, ce nouveau service nous permet d’éviter l’utilisation excessive de papiers et, en ce sens, nous contribuons aux côtés de la Banque des Territoires à être dans une démarche plus respectueuse de l’environnement.
- De manière générale, quelles sont vos attentes en termes de services proposés ? Et plus particulièrement au regard des enjeux de digitalisation de votre profession ? Comment voyez-vous l’avenir ?
Au regard du contexte sanitaire actuel mais aussi, plus globalement, de la transformation de notre société qui tend de plus en plus vers une digitalisation, je suis pour aller vers plus de progrès. J’admets ne pas avoir été toujours un adepte du numérique mais cela a fini par changer. En commençant à expérimenter le numérique et ses différentes possibilités, j’y ai trouvé un vrai confort de travail et une véritable efficience. Je suis pour aller vers la digitalisation car c’est aller vers le progrès mais c’est aussi savoir s’adapter à notre situation actuelle.
Côté relation clients, cela a également simplifié les choses. Il est pour nous plus aisé d’expliquer le process des services numériques que nous proposons à nos propres clients quand nous l’avons nous-mêmes expérimentés. Aujourd’hui, proposer à nos clients ces services c’est aller dans le bon sens, au-delà même du gain de temps considérable que cela nous fait gagner à tous.
